Le quartier du Val Saint-Martin a accueilli le 18 novembre une nouvelle opération de diagnostic en marchant, organisée par la ville de Mont-Saint-Martin en partenariat avec l’État et l’Agglomération du Grand Longwy. Cette initiative fait suite à une première séquence menée le 27 mai dernier, et marque une étape importante dans la démarche participative engagée pour améliorer le quotidien des habitants.

En mai, les équipes avaient identifié plusieurs problématiques : dépôts sauvages, véhicules abandonnés, infrastructures abîmées… Six mois plus tard, le diagnostic du 18 novembre a permis de constater certaines améliorations visibles, mais aussi de relever des difficultés persistantes qui nécessitent des actions renforcées.

Quatre groupes composés d’élus, d’agents de l’État, de représentants de la ville, d’associations et de citoyens ont quadrillé le quartier. Parmi les participants figuraient notamment :

• Patrice Marini, premier adjoint
• Claudia Leclerc et Sylvie Da Costa, adjointes au maire

La synthèse collective s’est tenue à l’espace Mohammed Rachek, lieu d’échanges et de restitution des observations.

Au-delà du simple constat, cette méthode participative vise à :

• Écouter les habitants et recueillir leurs idées
• Confronter les perceptions citoyennes avec l’expertise des professionnels
• Proposer des solutions concrètes dans les domaines de l’habitat, du cadre de vie, de l’environnement et du développement économique
• Définir des actions ciblées pouvant bénéficier de l’abattement de la taxe foncière sur la propriété bâtie

Ce second diagnostic confirme l’importance de suivre les évolutions dans le temps. Il permet de mesurer l’impact des premières interventions et d’ajuster les priorités pour que les habitants du Val Saint-Martin bénéficient d’un cadre de vie plus agréable et sécurisé.